Cet espace de 1200m² est unique en son genre, ultra-modulable et ultra-moderne.
ACHETER UN BILLET« C’est dans le cadre historique de la Grande Arche de la Défense que cette nouvelle exposition va se dévoiler, témoignage du temps à travers les siècles. »
Le photographe Jean-Gabriel Barthélemy nous livre 3 récits, qui ont en commun les traces du temps et du passage des hommes. De la vertigineuse cathédrale Notre Dame de Paris, à la Cité des 4000 de la Courneuve en passant par un Versailles des plus intimes. A travers cette grande exposition, ces 3 lieux vont révéler leurs forces et leurs fêlures, leurs évidences et leurs secrets, sur les 1 200 m2 qu’offrent cet espace unique…
Des photos muséales, exposées exclusivement en grand format, pour interroger notre mémoire, mais aussi notre compréhension des lieux et des histoires qui s’y sont déroulées.
Il nous entraine d’abord dans les dédales de Notre Dame de Paris, avant le terrible incendie du 15 avril 2019. Un état des lieux commencé en 2017, avant la restauration de la flèche, et qui met en lumière les souffrances de l’édifice. Un Versailles inédit, puisqu’il a pu accéder aux pièces privées du palais, en arrière-plan des salons d’apparats dont on ne connaît finalement qu’une infime partie.
Puis le photographe nous plonge dans la dureté graphique, mais belle et épurée de la « Cité bleue » de la Courneuve. Cet ensemble de barres gigantesques, regroupant 4 000 logements construits par la ville de Paris, fut l’un des plus beaux fleurons de l’urbanisme populaire de la Ve République.
« L’altruisme est la plus belle expression de la nature humaine. Il est le fil d’Ariane nous permettant de trouver notre chemin dans le dédale de préoccupations graves et complexes et de faire face aux défis du XXIe siècle. »
Un hymne à la beauté pour prendre de la hauteur
Beauté spirituelle de l’être humain, beauté de l’altruisme, beauté de la part sauvage du monde (nature, animaux), …autant de beautés qu’explore le regard du moine bouddhiste Matthieu Ricard, qui, au travers de ses rencontres et expériences de vie, livre un témoignage vrai sur cet amour simple des merveilles qui nous entourent, cet amour altruiste garant d’une vie pleine de sens ; oser contempler le Beau comme une véritable respiration de chaque être vers son essence profonde : aimer.
Un témoignage unique
Le Toit de la Grande Arche propose une lecture inédite des photographies de Matthieu Ricard. Un regard bienveillant sur notre être et le monde qui nous entoure, comme autant de repères qui jalonnent notre Chemin de vie.
Exposition du 13 avril 2022 au 5 décembre 2022
Du 7 août 2021 au 27 février 2022, le Toit de la Grande Arche de la Défense a l’honneur de consacrer les 1 200 m² de son espace culturel à l’exposition « Paparazzi de A à Z », mettant à l’honneur les plus grands clichés, volés ou officiels, du photographe des stars, Daniel Angeli.
Daniel Angeli, toute une époque dans ses images. C’est une époque révolue qui va s’afficher en grand sur le toit de la Grande Arche, lieu à la vue imprenable.
Quel écrin pour exposer plus de 200 de ses photos mythiques ou secrètes, dont de nombreux inédits, qui rappelle une époque à la fois légère – les grandes tablées people, les frasques des familles royales, les vacances de la jet set, les corps dénudés…, et à la fois scandaleuse, puisque la photo volée ne connais- sait pas alors la facilité des téléphones portables, et qu’il fal- lait parfois plusieurs jours de planque à Daniel Angeli pour immortaliser un instant qui fera le tour du monde. Réputé pour ses innombrables couvertures de magazines, en France ou à l’international, Daniel Angeli est toutefois resté un homme de l’ombre au flair incomparable, caché derrière ses incalculables photos connues de toutes et de tous… De l’iconique photo de la famille Gainsbourg sur un hamac à celles de Romy Schneider nue sur un bateau, ou au portrait le plus célèbre de Simone Veil, rien n’a échappé à l’œil vif de Daniel Angeli, qui fut aussi durant 20 ans le photographe officiel de Johnny.
Il y a d’ailleurs une âme de rocker dans les yeux d’Angeli, le fait d’aimer le chahut occasionné par les révélations, mais en parallèle de respecter ces grandes stars à qui il voue un amour sincère.
En 60 ans de carrière, c’est la 1ère fois qu’une telle exposition est consacrée à ce grand artiste de l’image, qui va une nouvelle fois surprendre et dévoiler de très nombreux inédits, témoi- gnages du monde d’avant… Une façon de (re)vivre des mo- ments forts qui ont marqué plusieurs générations.
Cette exposition est un hommage à la nature, aux hommes qui la cultivent, au cœur de ses paysages variés, de ses plantes et fleurs précieuses, là où la terre et les hommes se rencontrent, s’unissent pour le respect de la planète et de ses ressources. Un voyage immersif fascinant à la découverte du monde et de ses richesses.
Préserver la biodiversité, protéger la nature, les hommes, sont des actions chères à Clarins. Pionnier de la beauté responsable, depuis 1985, le Groupe Clarins s’engage et s’implique au quotidien pour donner aux générations futures le meilleur, en prenant soin de leur bien-être. C’est un véritable travail d’engagement à la découverte d’une nature préservée, d’ingrédients sélectionnés, observés, décryptés, récoltés avec le plus grand soin, dans le respect de l’environnement et des hommes. La volonté et le savoir-faire de la Maison Clarins : cultiver en respect de la biodiversité et en harmonie avec les populations locales. Un modèle de développement responsable aux valeurs humanistes.
Quand le street art envahit le Toit de la Grande Arche. Une exposition inédite d’œuvres XXL, des pièces rares, des toiles et des collaborations !
Artiste engagé, Cyril Kongo a largement contribué à défendre le graffiti comme école de peinture à part entière. La peinture de l’artiste est marquée par ses expériences et sa vision de la vie. Après avoir passé plus de trente ans à peindre dans la rue et œuvrer pour que le graffiti soit perçu autrement, il est aujourd’hui considéré comme un visionnaire qui a su casser les codes pour mieux reconstruire à travers son regard contemporain et avant-gardiste.
Ses influences multiculturelles , son niveau d’exigence et sa capacité à créer des liens entre des mondes aux antipodes ont forgé sa carrière et son style. Cyril Kongo a su faire de son nom un synonyme d’excellence, d’abondance et de virtuosité. Son univers singulier et son identité affirmée lui ont donné l’opportunité de s’associer aux noms les plus prestigieux de la mode, de l’art et de l’artisanat d’art. Artiste urbain avant tout ; Kongo fait partie de la première génération de graffeurs parisiens.
Le toit de la Grande Arche propose une lecture thématique plutôt que chronologique de l’œuvre de Yann Arthus-Bertrand. Ses premières photographies prises au Kenya en montgolfière, celles des Bestiaux où les propriétaires posent avec leurs animaux, les portraits des Français, et son grand projet «la Terre vue du ciel », véritable état des lieux du monde.
Avec ses photographies, ses films et la Fondation GoodPlanet, YAB œuvre à la sensibilisation du public et à l’élaboration de solutions concrètes en faveur d’un mode de vie plus responsable, plus respectueux de la planète et de ses habitants.
La question est : qu’allons-nous transmettre aux générations futures ? Et quelle est notre responsabilité ?
De Jean-Jacques Goldman à Maître Gims, de John Malkovich à Isabelle Huppert, de Véronique Sanson à Sting, de Paul Bocuse à Jean-François Piège, tous ont un jour poussé la porte de son studio parisien pour en ressortir avec la photo, ce portrait instinctif tout en contrastes et en émotions, que Stéphane sait si bien capter au travers de son objectif.
« Un photographe avec qui les plus grands baissent leur garde. »
C’est ainsi que Stéphane de Bourgies est remonté à ses premières années photo, à la fin des années 70, jusqu’à aujourd’hui, pour sélectionner, parmi le millier de portraits en sa possession, environ deux cents d’entre eux, et permettre aux visiteurs de s’immerger dans les regards de ses modèles, qu’ils soient hommes d’affaires, chefs cuisiniers, mannequins, acteurs, chanteurs ou encore anonymes, mais avec la gueule qui va faire virevolter Stéphane…
Du 15 janvier au 3 mars 2019, le toit de la Grande Arche accueille l’une des plus grandes expositions de Jean-Marie Perier
Les années 60 et les années 90 en image !
Ce sont les deux grandes périodes que Jean-Marie Perier a choisi d’exposer pour cette rétrospective unique, inédite par sa taille et par le nombre d’artistes représentés : les années 60 et toute la scène musicale liée, des incontournables des yéyés aux plus grands artistes anglo-saxons, tels que James Brown, les Beatles, Mick Jagger, et les années 90 sous le signe de la mode : couturiers, nouvelles rock stars, mannequins…
Le toit de la Grande Arche offre une mise en scène monumentale, avec de très grands formats, la plupart en couleurs.
Une centaine de photos exposées dans des conditions inédites, à 110m de hauteur, un espace façon « black box » pour s’immerger dans l’univers photographique de l’artiste, Nikos Aliagas dévoile pour la première fois ses nouvelles photographies du 23 octobre prochain au 6 janvier 2019, sur le toit de la Grande Arche.
L’exposition dévoilera 100 photos dont de nombreux inédits, déclinées en 4 formats, accrochées sur les 1200 m² de l’espace culturel du toit, situé sous l’incroyable rooftop de la Grande Arche.
Pour Nikos Aliagas, il s’agit de sa plus grande – et plus haute !- exposition, sa précédente manifestation parisienne remontant à 2016. Infatigable observateur de la vie, les traces du temps sont l’un des thèmes de prédilection de l’artiste Nikos Aliagas, comme une recherche d’un instant suspendu dans l’implacable finitude d’une existence.
OUVERT TOUS LES JOURS DE 10H À 19H (Dernière entrée à 18h30)